J’y vas t’y ? J’y vas t’y pas ?
Voici le portrait d’un homme qui s’est entièrement dévoué à son art, jusqu’à s’y bruler les ailes.
Malgré l’absence de « happy end », dieu que cette histoire est belle.
Le paradoxe que vivent les artistes y est porté à son paroxysme : la création vous nourrit et vous consume en même temps.
J’appelle sur scène Jacques Tati.
