Come fly with me
Reprendre l’avion après quasiment 2 ans d’interruption forcée.
Voyager pour la première fois dans LE pays numéro Un au monde, qui me révulse autant qu’il me fascine.
Tout cela ressemble à un redémarrage de la vie intense d’avant…
Come fly with me
Reprendre l’avion après quasiment 2 ans d’interruption forcée.
Voyager pour la première fois dans LE pays numéro Un au monde, qui me révulse autant qu’il me fascine.
Tout cela ressemble à un redémarrage de la vie intense d’avant…
So english …
Une fois encore, c’est un coup de cœur esthétique qui me ramène à l’écriture.
Phantom thread est une œuvre de toute beauté. Sorti en 2017, le film raconte le travail obsessionnel d’un couturier dans le Londres corseté des années 1950.
Chaque année, la saison estivale est l’occasion pour moi de composer une playlist.
Plus encore que d’habitude, en 2021 on voudrait que cette période soit synonyme de gaité et de légèreté. Ce n’est pas toujours possible mais au moins certains invariants demeurent dans le temps et en particulier celui-ci : la musique adoucit les mœurs.
One of these mornings you’re gonna rise up singing
Yes, you’ll spread your wings and you’ll take to the sky
Le week-end dernier je suis retourné au cinéma après plus de 11 mois d’interruption. C’était assez surprenant comme ambiance. Une joie contenue, du recueillement, les gens chuchotaient. Je me croyais dans une cathédrale.
J’ai lu quelque part que les salles de cinéma pouvaient être assimilées aux temples modernes de notre société sécularisée. Je trouve la métaphore assez juste.
Le savoir est une arme
Une polémique sur la façon de commémorer (ou non) un dirigeant français historique.
Un personnage à la destinée hors du commun, et pourtant humain trop humain, bourré de contradictions.
Une épopée européenne, de Paris à Moscou.
Et enfin et surtout, une histoire aux accents intimes pour tous les enfants des familles corses.
Vraiment Napoléon Bonaparte avait tout pour m’inspirer, 200 ans après sa mort !
Quand on est au milieu des roses, on en prend le parfum
Après avoir évoqué récemment mon film préféré, Elmer Gantry, je voudrais parler aujourd’hui de mon livre préféré : Anna Karénine.
Pendant longtemps, « Il était une fois en Amérique » de Sergio Leone représentait pour moi le summum dans le cinéma.
Et si je devais choisir un livre de référence, c’était « la trilogie du Caire » de Naguib Mahfouz.
Et récemment donc, le sommet de ma littérature s’est déplacé d’Égypte en Russie. Plus précisément en ce moment même puisque je suis encore en train de lire l’œuvre du géant Tolstoï.
En même temps, on ne lit pas 900 pages du jour au lendemain …
Il y a un côté satisfaisant, rafraichissant, à renouveler ses références absolues sur le plan culturel. On se dit que la vie à toujours de belles découvertes à nous offrir.
Il court, il court, le futé
J’avais un peu le moral dans les chaussettes ce matin.
Parce que les choses n’avancent pas aussi vite que je le voudrai dans mon travail et parce que je suis impatient (et ça ne s’arrange pas du tout avec l’âge).
Et pour d’autres raisons qui ne dépendent pas de moi.
Les stoïciens, l’équipe austère de la philosophie antique me diraient que je ne devrai donc ne pas m’en préoccuper.
Pas aussi simple.
Un rapide contrôle de la météo du jour et de mon planning …
Oui c’est possible, je vais pouvoir me caler une course dans les Côteaux entre midi et deux, yeah !
Pour être raccord avec mon précédent thème sur la voix des femmes, je publie de nouveau ma playlist composée à l’occasion du festival Rio Loco de Toulouse en 2019 précisément sur le même sujet.
ON AIR
Vous aussi, vous avez pris le virage des podcast ?
Cela fait un an ou deux que je suis tombé dedans et maintenant je suis conquis par ce nouveau mode d’expression.
Il faut bien reconnaître que les femmes sont en pointe en la matière.
The show must go on !
La capitale de l’Auvergne représente le Graal des apprentis cinéastes. Il s’agit tout simplement du plus grand festival au monde dédié aux courts métrages.
Et vous savez quoi ? Il se déroule en ce moment même.
Pour la première fois j’assiste aux projections d’un festival pro. A distance évidemment, mais ça fait un bien fou quand même. C’est sûr on voit bien la différence de niveau avec des festivals de moindre envergure.
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